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Confess de Colleen Hoover


Confess de Colleen Hoover

Hugo Roman, collection New Romance, 7 avril 2016, 360 pages, 17€ (ebook : 9,99€)



Résumé


Et si la vérité faisait plus mal que le silence?


Auburn Reed a des plans très précis pour son avenir, et elle ne laissera personne se mettre sur son chemin. Lorsqu'elle franchit la porte d'une galerie d'art à Dallas pour un entretien, elle s'attend à tout sauf à l'irrésistible attraction qui la pousse vers Owen Gentry. Cet artiste énigmatique semble avoir beaucoup de choses à vouloir cacher à tout prix. Pour tenter de découvrir ses secrets les plus intimes, Auburn va baisser toutes ses barrières, pour comprendre qu'elle risque bien plus gros qu'elle ne pensait. Elle n'a qu'une solution : s'éloigner d'Owen au plus vite. Mais la dernière chose que souhaite Owen, c'est la perdre. Pour sauver leur relation, il devra tout confesser. Mais parfois, les mots peuvent être bien plus destructeur que la vérité...



Avis


Evidemment avec la sortie de la série télévisée Confess au US je me suis dit que c’était le moment idéal pour lire un livre qui me faisait de l’œil depuis longtemps.


Tout débute dans une chambre d’hôpital. Nous faisons la rencontre de Auburn et Adam deux adolescents plus amoureux que jamais. Pourtant, la vie a décidé de les séparer de la pire des façons qu’il soit : la mort.





Je t'aimerai toujours, même quand je ne pourrai plus.





Nous retrouvons Auburn, cinq années après, au Texas. Elle vient d’emménager, plus par obligation que par choix. Elle n’aime pas cette ville, sa chaleur et tout ce qu’elle implique.



J'arrive enfin à soutenir son regard. Elle me serre de nouveau la main et je ne supporte pas de te voir aussi belle, Auburn. L'expression apaisée de toute inquiétude, de toute colère, de toute culpabilité. Le vent lui envoie quelques mèches sur la bouche, qu'elle écarte du bout des doigts. Un jour, je peindrai ce moment.



Et puis son regard est attiré par une porte. Celle d’une galerie nommé Confess. Sur la devanture, une offre d’emploi. Une offre inespérée quand on a besoin d’argent… Lorsque Owen, le propriétaire de la galerie, extrêmement sexy et mystérieux, elle lui propose le propose le poste, elle n’hésite pas un instant.

Ce soir, tout le monde est venu voir mes Å“uvres et moi je ne vois qu'elle.



Le contact entre eux est immédiat, mais au travers des mots, on sent qu’il y a plus qu’une alchimie. Il y a une histoire, des sentiments qui commencent à naître. Et puis les confessions arrivent, celle des autres, mais aussi celles des deux personnages. On apprend à les connaitre pendant qu’eux apprennent à se connaitre.

Elle serait choquée si elle savait combien son passé a pu affecter mon présent, mais je ne lui dirai jamais. Certains secrets sont faits pour être gardés. Je suis bien placé pour le savoir.



Dans ce livre, le libre mot est sacrifice. Il détail ce qu’implique de se donner pour les autres, sans regarder ce que l’on perd soi. Il explique que parfois la vie force à faire des choix et que pour obtenir ce que l’on veut on doit parfois dire renoncer à certaines choses.



- Auburn, je comprends que tu veuilles [...] mais parfois, il faut savoir commencer par sacrifier une relation, pour mieux la préserver ensuite. Elle se détache de moi, recule de quelques pas avant de se retourner. - Parce que tu as déjà sacrifié une relation, toi ? Je la dévisage avec toute l'intensité dont je suis capable. - Nous, Auburn, c'est nous que j'ai dû sacrifier.



Auburn a sacrifié sa vie pour la personne qu’elle aime le plus au monde, Owen sacrifie son amour pour Auburn pour qu’elle puisse être heureuse.


Si vous ne l’avez pas déjà lu, lisez-le. Avec Coho, on est rarement déçu. Si vous avez regardé la série, lisez-le !!!! Personnellement je me suis précipitée sur les deux premiers épisodes et j’ai abandonné. Malgré deux acteurs au niveau des rôles qui leurs sont proposés (j’adore Katie Leclerc et ce qu’elle dégage) les scénaristes ont changé trop de choses inhérentes à l’histoire. Il manque trop de détails si importants. Du coup, je n’ai pas fini la série.






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